30 juin 2016, les autorités italiennes ont fermé la réception des demandes de privatisation de l’Ilva. Ce mtallurgique est le plus grand nationale de l’entreprise. Le gouvernement a exposé sur la privatisation de l’entreprise au début de l’année 2016. En conformité avec les attentes parmi les principaux prétendants observe les deux sociétés. Un candidat représente le syndicat d’ArcelorMittal et Marcegaglia. Le premier membre de l'équipe est transnationale par le groupe. Le deuxième — italien fabricant de tubes et de tôle. Le deuxième candidat est un consortium qui comprend les trois sociétés. Une italienne de la sidérurgie société privée Arvedi. Le deuxième — holding société Delfin, de gestion d’actifs national de l’entrepreneur Del Vecchio. Le troisième membre est la Cassa Depositi e Prestiti — banque nationale de développement. Un peu plus tôt dans le nombre de candidats faisait partie de la société Erdemir de la Turquie. Les entrepreneurs turcs sont même à un accord préliminaire avec Arvedi. La vérité, à la dernière minute, la société n’a pas voulu accepter la participation dans le consortium.
Après la réception des demandes seront traitées dans un délai de 120 jours. Ensuite, les négociations reprendront, à laquelle participeront attribués à l’autorité des gestionnaires. Une telle situation s’explique tenue en 2013 à la nationalisation en matière d’aciérie Ilva. Besoin de discuter des points spécifiques de la transaction. Ce faisant, les acheteurs potentiels ne prévoient pas de révéler le montant qu’ils sont prêts à payer pour cette production. Un objectif de production annuelle de la capacité de production a atteint 12 millions de tonnes par an. Mais bientôt, plus de 6 millions de tonnes de produits de l’entreprise ne libère pas. Ilva dû arrêté de 50% de la capacité. Cette étape, il a fallu pour réduire les niveaux de pollution de l’environnement. Il suppose également de réaliser certains projets de modernisation. L’un d’eux consiste à l’installation de deux fours à arc électrique. Ils sont appelés à remplacer un permis de domaine complet de l'équipement.
Ce qui est intéressant, les acheteurs potentiels ne vont pas à l’informer, à quelle somme ils évaluent l'éventuelle acquisition. D’ailleurs, Reuters a exprimé provenant de certaines sources de données. Le consortium consiste à obtenir de l’ordre de 44,5% des actions de l’usine. De la part de Delfin aurez à 33,3%, Arvedi rentre à 22,2%. Ce faisant, leur contribution sera de 500 millions à 1 milliard d’EURO. ArcelorMittal compte sur l’acquisition de 85% des parts, Marcegaglia aurez à 15%. Qu'à moyens mis de ce côté, des données sont manquantes.